Avec tout le jargon de la course à pied qui est utilisé, on a parfois l’impression que la course à pied est un club d’initiés. Peut-être que vos amis coureurs chevronnés utilisent les termes « PB » et « BQ » comme si tout le monde savait ce qu’ils signifiaient, par exemple. Les termes et acronymes de la course à pied peuvent être difficiles à comprendre pour les nouveaux venus dans ce sport, et même pour ceux qui le pratiquent depuis longtemps.
Si vous vous sentez déconnecté, vous pouvez vous mettre rapidement à niveau. Voici quelques traductions de certains termes et acronymes courants de la course à pied. Je vous souhaite de réaliser un excellent RP et d’éviter les DNF, que vous fassiez du XT ou non.
Termes de base de la course à pied
Certains de ces termes vous sont peut-être déjà familiers, mais il est bon d’en connaître la signification exacte.
Forme
La forme désigne la façon dont vous tenez votre corps pendant que vous courez, notamment la façon dont vous positionnez votre tête, vos bras et vos jambes à chaque foulée. Une bonne forme vous aide à courir plus efficacement, mais aussi à prévenir la fatigue et les blessures.
Les principes de base d’une bonne forme consistent à maintenir le haut du corps droit, détendu et tourné vers l’avant. Atterrissez à mi-pied à chaque pas et faites pivoter vos bras vers l’avant à partir des épaules.
Rythme
Votre rythme correspond au nombre de minutes nécessaires pour parcourir un mile ou un kilomètre. Lorsque les coureurs parlent de courir un mile de neuf minutes, ils font référence à leur rythme.
L’allure joue un rôle important dans différents types de courses, notamment les épreuves de distance. Varier son rythme pendant l’entraînement peut être important pour développer la vitesse et l’endurance.
Si vous débutez, un rythme de conversation (c’est-à-dire que vous pouvez parler pendant que vous courez) est un bon rythme de départ. Certains coureurs peuvent en supporter davantage que d’autres au début, alors concentrez-vous davantage sur votre niveau d’effort que sur votre temps.
Frappe du pied
La frappe du pied correspond à la façon dont vos pieds touchent le sol à chaque pas de course. Le fait de toucher le sol à mi-pied avec un pas léger, plutôt que sur la pointe ou le talon, minimise l’impact et réduit le risque de blessure.
Modifier l’attaque du pied pour éviter les blessures
Échauffement
Avant de vous lancer dans une course, quelle qu’elle soit, il est important d’échauffer vos muscles afin de minimiser le risque de tension ou de blessure. Un bon échauffement augmente votre rythme cardiaque et le flux sanguin vers vos muscles, et implique souvent entre cinq et quinze minutes de marche ou de jogging.
Retour au calme
Tout comme l’échauffement est un rituel essentiel avant la course, le retour au calme est une pratique importante après la course. Le retour au calme consiste généralement à marcher ou à courir lentement jusqu’à ce que votre rythme cardiaque et votre respiration reviennent à un rythme plus normal.
Foulées
Ce terme est parfois utilisé pour désigner chaque pas en avant lorsque vous courez, mais techniquement, les foulées – ou accélérations progressives – sont de courtes courses de 25 à 30 secondes à environ 90 % de votre vitesse maximale.
Le terme courant de « sprint » est souvent perçu comme une course à fond, ce qui peut vous blesser si vous n’êtes pas suffisamment échauffé.
Splits
Un fractionnement fait référence au temps nécessaire pour courir une distance spécifique. Si vous couriez un 5 km, par exemple, vous pourriez vérifier votre temps à chaque kilomètre. Vérifier vos écarts peut vous aider à voir si vous maintenez un bon rythme afin de pouvoir terminer à l’heure prévue.
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Acronymes courants en course à pied
Décodez les mots codés des coureurs en examinant la sténographie des termes courants de la course à pied.
BQ : Qualification pour la course de Boston
Lorsqu’un coureur dit qu’il s’est « qualifié pour Boston », cela signifie qu’il a réalisé un temps de qualification pour le marathon de Boston. Le marathon de Boston est le plus ancien marathon organisé consécutivement et ses critères de qualification sont très stricts. Un coureur doit réaliser le temps standard correspondant à son âge et à son sexe lors d’un marathon de qualification afin de pouvoir se présenter au marathon de Boston.
Courir un BQ signifie que le coureur a atteint ce standard de temps de qualification. C’est un grand objectif en soi, même si vous n’obtenez pas l’une des places limitées pour la course elle-même.
DNF : N’a pas terminé
L’acronyme DNF figure dans les résultats de course lorsqu’un coureur a pris le départ de la course mais n’a pas terminé. Si vous courez depuis assez longtemps, vous avez probablement connu au moins un DNF dans une course. Vous pouvez vous consoler en vous disant que le DNF arrive assez souvent pour mériter un acronyme.
DNS : N’a pas pris le départ
L’acronyme DNS est parfois mentionné dans les résultats de course lorsqu’un coureur était inscrit à une course mais n’a pas pris le départ. Cela permet de faire la distinction entre ceux qui n’ont pas tenté la course et ceux qui ont tenté la course mais n’ont pas pu la terminer.
LSD : Longue distance lente
Non, pas l’hallucinogène – une course longue et lente. Souvent mentionnées dans les programmes d’entraînement, les courses LSD constituent une partie importante de l’entraînement pour une course, en particulier un semi-marathon ou un marathon. De nombreux coureurs aiment faire leur course de fond le week-end car ils ont plus de temps à consacrer à une course longue.
PB : Personal Best (ou PR : Personal Record)
Lorsque quelqu’un fait référence à son PB ou PR, il s’agit de son meilleur temps sur une distance de course spécifique. Par exemple : « Mon meilleur temps sur 5 km est de 19:26. »
Bien que les deux acronymes soient acceptables, PR est plus couramment utilisé aux États-Unis, tandis que les coureurs canadiens semblent préférer PB. PR, contrairement à PB, peut être utilisé comme verbe et comme nom. Par exemple, « J’ai fait un PR à mon semi-marathon le week-end dernier ». Si vous n’avez participé qu’à une seule course, vous avez déjà votre PR. Il n’est pas obligatoire de citer un temps avec votre PR.
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PW : Personal Worst
Bien que certains coureurs n’aiment pas en tenir compte, les PW désignent le pire temps réalisé par un coureur sur une distance spécifique. Par exemple, « Ce semi-marathon a été mon PW ». Pour se consoler, le PW est supérieur au DNF, qui est supérieur au DNS.
XT : Cross-Training ou X-Training
L’entraînement croisé est toute activité autre que la course à pied qui fait partie de votre entraînement, comme le vélo, la natation, le yoga, la musculation, etc. L’entraînement croisé présente de nombreux avantages : il vous permet d’améliorer votre condition physique générale et vos performances en course à pied.
Types de courses
La course à pied est une activité aussi simple que possible. Cela dit, certains termes sont souvent utilisés pour donner une certaine nuance à une course.
Course sur piste
Ce terme est assez évident et implique de courir sur un sentier dans un cadre naturel. Il peut s’agir d’un moyen amusant de rendre vos courses plus intéressantes, mais le terrain accidenté peut également solliciter des muscles que vous n’utiliseriez peut-être pas pendant une course sur tapis roulant, sur piste ou sur route. Vous pouvez envisager de porter des chaussures de trail conçues pour une meilleure traction et une plus grande stabilité pendant ce type de course.
Course de distance
Également connue sous le nom de course d’endurance, cette course sera la plus longue de la semaine pendant l’entraînement. Ces courses peuvent augmenter votre capacité aérobie et améliorer votre endurance générale.
Course facile
Ce type de course est exactement comme son nom l’indique : facile ! Vous devriez être capable de tenir une conversation avec un partenaire de course à ce rythme lent. Ce type de course est idéal pour les jours de récupération.
Travail de vitesse
Afin d’améliorer votre vitesse, vous devez vous entraîner à courir vite. Le travail de vitesse implique des rafales de vitesse entrecoupées d’une période de récupération. Le travail de vitesse peut impliquer une série d’entraînements, notamment des courses tempo, des répétitions et des intervalles.
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Course de récupération
Une course de récupération est une course courte et facile conçue pour les jours où vous récupérez d’une course plus intense. Ces courses sont peut-être plus faciles, mais elles ont un objectif important : elles permettent d’apprendre à votre corps à continuer, même lorsque vos muscles sont fatigués.
Entraînement par intervalles
Pour améliorer votre vitesse et votre capacité aérobique, il faut souvent alterner entre des rafales de haute intensité et des périodes de récupération de moindre intensité. L’entraînement par intervalles peut vous aider à maximiser votre vitesse, à développer votre force et à améliorer votre condition physique générale.
Répétitions en côte
Les collines offrent une excellente occasion de travailler la vitesse et de solliciter des muscles que vous n’utiliseriez peut-être pas autant pendant une course sur terrain plat. Une répétition en côte consiste à monter une côte en courant à une intensité élevée, puis à récupérer plus lentement en redescendant. Elles peuvent être difficiles – vraiment difficiles – mais elles peuvent être un moyen imbattable de développer votre vitesse et votre force.
Fartleks
Ce terme peut prêter à rire, mais il s’agit en fait d’une forme de travail de vitesse « de démarrage ». Le terme lui-même est d’origine suédoise et signifie « jeu de vitesse ». Ce type d’entraînement implique une course facile suivie de sprints courts mais plus intenses. La clé est que vous pouvez choisir d’aller à votre propre rythme, en fonction de votre niveau de forme actuel.
Les fartleks peuvent être un moyen utile d’améliorer progressivement votre force et votre condition physique.
Courses d’endurance
Également connue sous le nom de course au seuil anaérobie, la course tempo se déroule à un rythme légèrement inférieur à celui de votre course normale. Il s’agit d’une stratégie de développement de la vitesse qui se concentre sur le maintien d’un rythme à un seuil difficile que vous pouvez maintenir pendant environ 20 minutes.
Alors que courir à un rythme effréné entraînerait la fatigue, une course tempo vous permet de maintenir un rythme régulier (mais toujours difficile) pendant une période plus longue.
Tapis roulant
Le tapis de course peut être un outil de course utile, en particulier par mauvais temps. Mais pour les coureurs qui vivent pour sentir le soleil sur leur visage et la route sous leurs pieds, il peut être une source d’ennui et même d’effroi – d’où ce surnom pour les entraînements sur tapis roulant.
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Matériel de course
Étant donné qu’il existe des magasins entiers consacrés à l’équipement de course, il n’est probablement pas surprenant que ces articles soient hautement spécialisés.
Chaussures minimalistes
Ces chaussures ultra-légères sont conçues pour imiter la course pieds nus tout en offrant un certain soutien et une certaine protection. Elles permettent aux coureurs de mieux sentir le sol tout en protégeant les pieds des saletés dangereuses et des petites pierres.
Ces chaussures vont souvent d’une chaussure à peine visible (conçue pour imiter la sensation de courir pieds nus) à une chaussure de course plus minimaliste qui offre un certain amortissement mais peu ou pas de soutien de la voûte plantaire.
Collants de course
Ces leggings, capris ou shorts moulants sont conçus pour vous aider à rester au chaud lorsque vous courez à l’extérieur par temps froid. Recherchez un vêtement confortable, extensible et suffisamment souple pour vous permettre de bouger sans vous sentir limité.
Vêtements à évacuation de l’humidité
Vos chemises, shorts, jupes, pantalons et même soutiens-gorge de course sont souvent fabriqués dans un tissu spécial conçu pour évacuer l’humidité de votre corps. Cela peut vous aider à rester au frais et à éviter les irritations.
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Montre de sport
Une montre GPS peut vous aider à planifier votre itinéraire, à suivre votre vitesse et à garder une trace de vos kilomètres. Les montres de sport peuvent être très utiles pour surveiller votre course et votre condition physique, en vous donnant des informations sur tout, des kilomètres parcourus à votre fréquence cardiaque.
Ceinture de carburant
Également connue sous le nom de ceinture d’hydratation, la ceinture de ravitaillement est une ceinture ou une pochette légère où vous pouvez ranger en toute sécurité les éléments essentiels de votre course. Ce dont vous avez besoin pour votre course varie en fonction de votre destination et de la distance que vous parcourez, mais cela comprend généralement de l’eau, des en-cas de base pour faire le plein, vos clés et votre téléphone. Votre sac vous permet de garder ce dont vous avez besoin à portée de main tout en laissant vos bras et vos mains libres.
Le jargon des courses sur route
La course sur route comporte également beaucoup de jargon qui peut ne pas être compris par certains coureurs, surtout si vous êtes nouveau dans ce sport.
Division des coureurs maîtres dans la course sur route
Dans les courses sur route, la division des maîtres est réservée aux coureurs qui ont dépassé un certain âge. Habituellement, l’âge est de 40 ans, mais il peut varier d’un endroit à l’autre.
Le comité des maîtres de l’USA Track and Field (USTAF) exige que les athlètes maîtres aient « au moins 40 ans le premier jour de la rencontre ». De nombreuses courses sur route proposent des récompenses spéciales pour les coureurs masters.
En plus de récompenser les trois meilleurs athlètes masculins et féminins à l’arrivée, de nombreuses courses décernent des prix aux trois meilleurs athlètes masters masculins et féminins.
Division Clydesdale
Dans les courses sur route, la division Clydesdale est réservée aux coureurs masculins de poids élevé. Le poids minimum pour les Clydesdale est de 200 livres, bien qu’il puisse varier d’une course à l’autre. L’idée derrière ce regroupement, comme la division Athena (voir ci-dessous), est de diviser les participants à la course en catégories afin qu’ils se mesurent à d’autres athlètes ayant des qualités physiques similaires aux leurs (comme les groupes d’âge/de sexe que la plupart des courses utilisent).
Toutes les courses n’ont pas de divisions Clydesdale mais, si c’est le cas, elles le mentionnent généralement sur le formulaire d’inscription. Certaines courses peuvent avoir remis des prix aux trois premiers de la division Clydesdale.
Division Athena
La division Athena est destinée aux coureuses de poids lourd – le pendant de la division Clydesdale. Le poids minimum pour les Athénas est généralement de 150 livres, bien qu’il puisse varier d’une course à l’autre. De même, si une course comporte une division Athena, cela devrait être indiqué sur le formulaire d’inscription. Certaines courses peuvent décerner des prix aux trois premiers de la division Athena.
Corral
Un corral est une zone délimitée sur la ligne de départ d’une course où les participants sont regroupés en fonction de leur temps d’arrivée prévu. Les coureurs les plus rapides sont généralement dans les premiers corrals, et les coureurs les plus lents sont à l’arrière. Le dossard des coureurs indique généralement à quel corral ils sont affectés. Les officiels de la course contrôlent généralement les participants à la course lorsqu’ils entrent dans les corrals pour s’assurer qu’ils sont dans les bons.
Les courses qui ont des corrals donnent également aux coureurs des dispositifs de chronométrage, généralement sur leur dossard ou à attacher à leur chaussure, afin que le temps qu’il leur faut pour franchir la ligne de départ ne soit pas inclus dans leur temps de course final.
Dans certaines grandes courses, comme les marathons, les coureurs doivent être dans leurs corrals très tôt et finissent par attendre longtemps le départ de la course. Dans ce cas, il y a parfois des toilettes portables dans le corral. S’il fait froid et qu’ils doivent attendre longtemps, les coureurs porteront des vêtements jetables pour rester au chaud pendant qu’ils attendent (et les jetteront ensuite au départ ou le long du parcours).
Mis à l’écart
Malheureusement, être incapable de courir pendant un certain temps est un problème commun à la plupart des coureurs sérieux à un moment donné. Cela peut être dû à une maladie, à une blessure ou à un certain nombre d’événements de la vie qui ne sont pas prévus mais qui sont importants.
Faire une pause dans la course, quelle qu’en soit la cause, peut avoir un impact émotionnel. Cela peut également vous ralentir physiquement. Vous aurez besoin de stratégies d’adaptation lorsque vous serez sur la touche. Une fois que vous êtes prêt à reprendre la course après une pause, vous devez reprendre votre programme habituel en douceur.
Blessures ou problèmes courants
La course à pied présente de nombreux avantages pour la santé, mais elle peut également entraîner des problèmes et des blessures. Vous entendrez peut-être ces termes lorsque les gens échangeront leurs histoires de course.
Frottement
Il s’agit d’un problème commun à presque tous les coureurs, en particulier lorsqu’ils s’attaquent à de longues distances. Les zones sujettes aux frottements sont les crevasses du corps (aisselles, sous les seins), les zones frottées par les bretelles des vêtements (taille, épaules), ou tout autre endroit où la peau est relâchée ou plissée.
Une bonne hydratation, le port d’un équipement adapté et l’utilisation de lubrifiants anti-frottement peuvent contribuer à la prévention. Les collants de course à pied peuvent également contribuer à minimiser les irritations redoutées à l’intérieur des cuisses.
Ongles d’orteil noirs
Cette affection désagréable se caractérise par des ongles d’orteil meurtris, boursouflés ou sanguinolents, causés par vos orteils qui se heurtent constamment à l’avant, au dessus et aux côtés de votre chaussure. Les ongles noirs sont courants et peuvent être assez désagréables, surtout si vous perdez un ongle.
La meilleure prévention consiste à acheter des chaussures de course bien ajustées et à les lacer correctement pour éviter que le talon ne glisse pendant votre course.
Pronation
Ce terme fait référence au mouvement naturel d’un côté à l’autre de votre pied lorsqu’il touche le sol lorsque vous courez ou marchez. Lorsque vous faites rouler votre poids sur votre pied, ce dernier roule normalement vers l’intérieur. Si vous vous sur-pronatez en courant, cela signifie que votre pied roule trop vers l’intérieur. La supination ou la sous-pronation, quant à elle, signifie que votre pied roule trop vers l’extérieur.
La supination et la sous-pronation peuvent toutes deux augmenter le risque de blessure. Vous pouvez souvent voir les signes de votre pronation en vérifiant l’usure de la semelle de vos chaussures de course.
Pronation et sur-pronation en course à pied
Atteinte du tibia
Ces douleurs aiguës dans la partie inférieure de la jambe sont un type courant d’affection liée à la course. Les petites périosties du tibia se calment souvent avec du repos ou en traitant la douleur par le glaçage de la zone affectée. Si vous souffrez souvent de ces douleurs, c’est probablement le signe que vous avez besoin d’une nouvelle paire de chaussures.
Genou du coureur
Ce terme désigne tout type de douleur autour de la rotule, qui peut être le signe de diverses affections. Il se caractérise par une douleur dans cette zone que vous pouvez ressentir en marchant, en courant, en vous penchant ou même en restant assis au repos. Elle peut être le résultat d’une surutilisation, d’une mauvaise forme ou le symptôme d’une lésion du genou.
Le genou du coureur est souvent traité par le repos, la glace, la compression et l’élévation (RICE), bien qu’une douleur continue ou sévère puisse nécessiter un traitement supplémentaire ou une intervention chirurgicale.
Autres blessures
En tant que coureur, vous pouvez à un moment ou à un autre être confronté à une poignée d’autres pathologies affectant les jambes et les pieds, telles que la fasciite plantaire, la tendinite d’Achille, le syndrome de la bandelette ilio-tibiale ou les fractures de stress. Si vous pensez avoir une blessure, parlez à votre médecin de vos symptômes et allez-y doucement jusqu’à ce que vous sachiez que vous pouvez continuer à courir sans risque de vous blesser davantage.